Alain
FORET
«Avant d’y être confronté, on ne peut pas s'en rendre compte.»
Voilà la phrase que j'ai le plus entendue en rencontrant des familles endeuillées et des professionnels.
C’est long, c’est parfois pénible et souvent violent. Comme une plaie qui reste ouverte, empêchant un deuil serein. En moyenne, les proches doivent effectuer 30 à 40 démarches après un décès, auprès de 15 à 25 organismes différents selon un calendrier contraignant, sous peine de perdre des droits ou de l’argent.
Le stress du mail et de la boîte aux lettres où, tous les jours pendant des mois, vous recevez des courriers au nom du mari, du frère, de la mère décédée : des millions d’entre nous le connaissent pour faire valoir leurs droits.
C’est de cela que je veux soulager aujourd’hui les familles endeuillées :
ADOMEGA
Ad Omega est né au croisement d’un besoin, celui des familles endeuillées confrontées aux démarches après décès, et d’une envie d’entreprendre, de façon humaine, simple et au service des autres dans mes domaines d’expertise.
Notre engagement pour les familles bretonnes :
En s’inspirant des langues anciennes, on pourrait traduire Ad Omega par «vers l’infini», «à l’infini» ou encore «le point final». J’ai voulu traduire ainsi notre mission : aider les proches d’un défunt à clore cette dernière étape, peut-être une des plus douloureuses, après la mort.
Aider ceux qui restent à changer de statut.
Devenir veuf, veuve, fils ou fille de parents décédés.
Faire entrer progressivement le défunt dans les souvenirs.